10 ressources utiles en éducation

29 04 2009

Voici une liste de 10 ressources qui peuvent être utile en enseignement des sciences et des maths… Surtout au secondaire, mais peut-être au primaire aussi. Vous trouverez une courte description pour mieux vous orienter.

  • Déclic Sciences-Techno : Un portail qui présente des références et des situations d’apprentissage destinées aux jeunes du primaire. Les documents qui accompagnent les SAE sont très complets : les projets sont véritablement « prêts à être enseignés ». On peut également trouver sur ce portail certains éléments d’actualité scientifique et des concours qui s’adressent, encore une fois, aux jeunes du primaire.
  • Maths et sciences pour le Lycée et le Collège : Ce site est en fait une collection de cours en ligne et d’exercice. On trouve donc plusieurs capsules de théorie et des exercices interactifs pour la chimie, les mathématiques et la physique. Le cours de mathématiques qu’on y trouve sont plutôt de niveau primaire/début du secondaire, alors que les cours de sciences sont de niveau secondaire IV ou V. Le site comporte plusieurs illustrations intéressantes.
  • Agence Spatiale Canadienne, section éducateurs : La section éducateurs est riche en matériel pédagogique. On y retrouve des projets (dont celui de la tomatosphère – à voir!) riche en ressources : matériel pédagogique, projets, information & actualité scientifique, banque d’image, vidéos, etc. C’est dans la section « ressources » qu’on trouvera le matériel pédagogique. Les différentes activités qu’on y trouvent sont bien expliquées : que ce soient les objectifs du projet en lien avec les programmes d’études ou les concepts dont la compréhension est nécessaire pour mener à bien le projet, tout est détaillé. Section ressources. Jetez-y un coup d’oeil!
  • NASA, section éducateurs : Tout est en anglais sur le site, bien entendu, mais on y trouve beaucoup de matériel pour l’enseignement. Vous ne serez pas étonnez d’apprendre qu’on peut trouver de l’information vulgarisée, de l’actualité scientifique et une banque d’images époustouflantes, mais vous serez peut-être un peu plus surpris de savoir qu’à l’instar de l’agence spatiale canadienne, on propose sur le site de la NASA différentes activités pédagogiques. Plusieurs comportent des documents d’accompagnement détaillés. On peut y trouver des activités pour tous les niveaux. Mon coup de coeur? Un projet visant à initier des élèves du primaire ou du début du secondaire à la démarche scientifique, par le biais de la conception d’une réplique de l’avion expérimentale Bell X-1 (la première avion supersonique). Allez-y, faites votre propre planeur…
  • Le carrefour atomique : Un site dédié à la physique atomique et à la chimie des éléments. La section « Guides » comporte différents « scénarios », qui sont en fait des activités pédagogiques adaptés pour des élèves du secondaire (secondaire IV ou V). On trouve aussi des compléments de cours sous forme d’éléments de théorie et de capsules historiques. Allez fouiner, ça vaut le détour…
  • @t Home, la classe de sciences : Différentes ressources pour l’enseignement des sciences au secondaire, particulièrement la chimie et la physique. Vous y trouverez des propositions d’activités, des laboratoires, de l’information complémentaire, etc. Le site n’est malheureusement plus maintenu à jour, les liens ne fonctionnent donc pas tous.
  • Theobromine’s blog : Un blog conçu et mis à jour par le concepteur original de « @t Home, la classe de sciences ». Le blog est tout-à-fait à jour et il est facile de s’y retrouver. On y propose des laboratoires, des activités, des démonstrations, des vidéos et des animations, tous présentés avec l’enseignement en tête. Ce site regorge de ressources qui peuvent servir en classe de chimie. Par contre, ne cherchez pas du matériel en physique ou en biologie… et prenez garde au contenu de niveau collégial qu’on y trouve parfois.
  • Chaîne YouTube de UCBerkeley : Vous aimeriez suivre un cours à Berkeley, mais vous n’avez pas les moyens de vous payer les droits de scolarité onéreux d’une prestigieuse université américaine? Eh bien la solution : des cours en ligne de Berkeley… sur YouTube. Il s’agit de véritables cours, donnés par des professeurs de l’institut, qui ont été enregistrés et publiés en ligne sur YouTube. N’utilisez pas ces vidéos pour enseigner à des jeunes du secondaire : le niveau est beaucoup trop avancé et tout est en anglais. Par contre, si vous trouvez que votre culture scientifique comporte certaines lacunes, faites vous plaisir, instruisez-vous…
  • Héma-Québec : On trouve sur le site beaucoup d’information sur le sang et sur le don de sang. L’information est bien vulgarisée et on trouve des statistiques qui donnent un portrait de la situation au Québec par rapport au don de sang. On pourrait facilement demander à des élèves de consulter ce site dans le cadre d’un projet de recherche. Bref, une ressource à prendre en note si vous enseignez le cours « sciences et technologies : l’être humain », de troisième secondaire… Vous y apprendrez probablement beaucoup de choses vous-mêmes! Particulièrement intéressant : la section sur les types de dons de sang, qui fait référence à certaines biotechnologies utilisées pour le traitement des dons…
  • Futura-sciences : Un site qui présente plusieurs dossiers sur l’actualité scientifique. Très intéressant pour deux raisons : d’abord, vous maintenir à jour dans vos connaissances, et ensuite, pour rattacher votre enseignement à des éléments d’actualité afin de montrer que ce que vous enseignez a bel et bien quelque chose à voir avec la réalité!




Moodle et la pédagogie : vers l’avenir de l’enseignement?

29 04 2009

Qu’est-ce que Moodle? Nous n’en avons peut-être pas beaucoup parlé dans le cadre du cours TEN-22149, mais je crois que Moodle représente une avenue intéressante à explorer pour l’intégration des TICS en enseignement… Par contre, son usage demandera plus que la mobilisation d’un seul enseignant : pour implanter Moodle, il faudrait que l’école – ou la commission scolaire – se mobilise autour de ce projet.

Je fais du « teasing »… Je n’ai toujours pas répondu à la question. Moodle, c’est une solution logiciel (software package) qui permet de monter des cours en ligne. Avec Moodle, on peut créer des blogs, tout en gardant le contrôle sur l’accessibilité : excellent pour la protection des données et pour éviter les questions d’atteinte à la vie privée. On peut créer des forums, des groupes de discussion, des espaces collaboratifs, des modules d’apprentissage, etc. On peut créer un espace virtuel où les élèves peuvent venir déposer le contenu de leurs travaux ou de leurs recherches. Ces fonctions sont déjà incluses dans Moodle, mais les possibilités ne se limitent pas à ça… Après tout, le code sur lequel Moodle est basé est un code libre (open source) : l’utilisateur qui trouve la plateforme intéressante, mais qui souhaiterait y ajouter des fonctions peut le faire – en autant qu’il sache programmer! Finalement, on peut aussi intégrer Hot Potatoes dans Moodle, pour élaborer différentes formes de quiz, de questionnaires et d’exercices en ligne.

Moodle offre donc une suite d’outils pour la création de cours en ligne, en plus de permettre de gérer les comptes d’utilisateurs. Il permet d’élaborer des cours 100% en ligne autant que des compléments de cours. Il permet la gestion de l’évaluation aussi bien que la gestion des apprentissages. Vous connaissez WebCT? Eh bien Moodle, c’est un peu ça, un WebCT dont le code n’est pas propriétaire : conséquemment, la licence d’utilisation est gratuite. Personne ne vous dira jamais que ce logiciel coûte trop cher!

Si Moodle est aussi puissant, aussi formidable, pourquoi ne le trouve-t-on pas dans toutes les écoles? Eh bien c’est parce que son installation demande plus de connaissance que 99% des enseignants n’en possèdent. Pour pouvoir l’utiliser, il faut d’abord avoir accès au serveur de l’école et l’installer sur celui-ci – bref, sans la collaboration du technicien en informatique, oubliez ça. Il faut aussi que le serveur supporte le langage PHP, qu’il opère avec Appache et qu’il dispose d’une base de donnée MySQL. L’installation complète de Moodle comprend tous les logiciels nécessaire pour remplir ces conditions. Effectivement, lorsqu’on télécharge la dernière version de Moodle, on reçoit aussi les plus récentes versions de PHP, Appache et MySQL… mais n’empêche : pour installer Moodle, il faut savoir ce qu’on fait. Et une fois installé, il faut aussi avoir du temps pour se familiariser avec l’interface…

Bref, avant que Moodle ne soit installé dans une école, il faut que les responsables de l’informatique soient convaincus qu’il s’agit d’un projet qui vaut la peine d’y investir temps et énergie. Cela implique également que plusieurs enseignants au sein de l’école voient le potentiel de Moodle et soient prêts à l’utiliser pour monter un complément de cours en ligne.

Moodle pour un seul professeur? Oubliez. Pas très réaliste comme perspective. Pour que l’implantation de Moodle se fasse de manière efficace dans une école, il faudrait d’abord qu’il y ait concertation du personnel et que cela devienne un projet d’institut. Je vois mal comment ça pourrait fonctionner autrement…

Certes, il existe des services Moodle en ligne – Moodle.org en offre un – qui ne nécessitent pas qu’on fasse l’installation complète. Le travail d’installation et d’administration du serveur est assuré par les fournisseurs du service, mais en contrepartie, les utilisateurs (c-à-d. les enseignants qui désirent y monter leurs cours) doivent payer. Gratuit et compliqué ou plus simple mais payant, votre choix…

Je crois vraiment que Moodle a beaucoup de potentiel, mais avant qu’il n’arrive dans nos écoles, il faudrait que deux conditions soient remplies : 1) que les enseignants reçoivent des formations afin de se familiariser avec Moodle 2) que la mise en place d’une plateforme Moodle devienne un projet institutionnel. Cela demanderait donc beaucoup de ressources et de concertation, mais le résultat n’en vaudrait-il pas la peine?

moodle_pedagogie

Image : http://www.wordle.net/





Les cartes conceptuelles et la pédagogie : un outil à maîtriser

29 04 2009

cartes-conceptuelles2

Les cartes conceptuelles sont définitivement au goût du jour. En 2009, impossible de ne pas en entendre parler en pédagogie. Impossible même d’ouvrir un manuel didactique sans en trouver une, généralement au début ou encore à la fin d’un chapître…

On les utilise parce qu’elles sont des représentations graphiques non-linéaires et qu’on pense qu’elles peuvent stimuler un style d’intelligence ou d’apprentissage différent de celui qui est typiquement stimulé par des textes traditionnels, dont la structure est purement linéaire. L’élève qui apprend mieux ou qui organise mieux l’information de manière visuelle s’y plaira, car la présentation de l’information sous forme de carte conceptuelle sera plus conforme à sa propre façon de traiter l’information. Ceux qui ont plus de difficulté à déchiffrer les subilités du langage écrit s’en trouveront tout aussi ravis.

On les utilise aussi parce qu’elles permettent de présenter l’information une synthèse de l’information : un texte de plusieurs pages peut généralement être résumé par une seule carte conceptuelle, où on peut rapidement voir les principaux thèmes abordés ou les principales idées. En plus, cette présentation synthétisée faciliite la mémorisation, et ce, de deux manières :

  1. parce qu’on ne devrait trouver sur la carte que les idées maîtresses, le nombre d’éléments à mémoriser est moins grand. On peut donc se faire assez rapidement une image mentale de la carte conceptuelle;

  2. les éléments sont présentés de façon organisée et cohérente : les liens logiques entres les éléments sont explicités graphiquement et les éléments sont hiérarchisés. Et on sait qu’il est plus facile de mémoriser une information organisée qu’une information éparpillée.

Avec ce que j’ai écrit ci-dessus, on comprend facilement deux des usages communs des cartes conceptuelles, c’est-à-dire la présentation de l’information sous forme de carte conceptuelle pour introduire un module ou encore l’usage d’une carte conceptuelle pour faire un retour sur les contenus à la fin d’un module. Lorsqu’on introduit un module à l’aide d’un carte conceptuelle, on est en train de donner une idée aux élèves de ce qu’ils vont faire ou voir dans les cours à venir : c’est un plan d’action, une image mentale de ce qui s’en vient. Cette forme de présentation vise particulièrement à stimuler ceux qui ont une intelligence plus visuelle et ceux qui ont besoin d’avoir une vue d’ensemble avant de se lancer dans quelque chose. L’autre usage, celui de résumé à la fin d’un module, fait plutôt appel à la fonction de synthèse de l’information que j’ai évoquée précédemment. À ce moment, la carte conceptuelle sert à faire un retour sur l’ensemble de ce qui a été fait : elle permet de faire ressortir les principales notions et de les mettre en relation, pour que l’ensemble des concepts forme un tout cohérent.

Évidemment, il n’est pas exclu qu’on demande aux élèves d’élaborer leur propre carte conceptuelle. Pourquoi se contenter de les présenter, toutes faites, alors qu’on sait que les élèves ont plus de facilité à mémoriser des concepts lorsqu’ils ont eux-mêmes organisé l’information?

En demandant aux élèves de créer leur propres cartes conceptuelles, on met à l’épreuve leur esprit de synthèse. On peut alors vérifier s’ils sont capables d’identifier les principaux concepts et s’ils sont capables de mettre ceux-ci en relation. Cela leur permet aussi de faire eux-mêmes leurs résumés d’études.

Il faut toutefois faire attention à certaines choses. Lorsqu’on présente des cartes conceptuelles aux élèves, il ne faut pas qu’elles soient surchargées, car on perdrait alors plusieurs des avantages. D’abord, une carte conceptuelle surchargée fait peur : on ne sait pas par où commencer, ni sur quoi porter notre attention, et à ce moment, le cerveau bloque. De plus, on perd la facilité de mémorisation, car les éléments à mémoriser deviennent trop nombreux. Finalement, on perd le sens de la hiérarchie et de l’organisation, simplement parce qu’on ne peut avoir une vue d’ensemble d’un réseau trop complexe. Une carte conceptuelle trop chargée est donc absolument à éviter si on veut l’utiliser à des fins pédagogiques. De plus, lorsqu’on demande aux élèves de créer leurs propres cartes conceptuelles, il faut porter attention à leur capacité à le faire. On ne peut tout bonnement demander aux élèves d’organiser l’information dans la structure graphique d’une carte conceptuelle s’ils ne se sont jamais exercé à le faire : il y aura une surcharge cognitive, ils ne sauront pas par où démarrer, ni quels éléments inclure. Il faut donc y aller graduellement : leur apprendre d’abord à remplir des cartes conceptuelles dont la structure est déjà construite et où les éléments principaux sont déjà identifiés, pour les amener petit à petit à trouver eux-mêmes quels sont les principaux éléments qui doivent y figurer et/ou la métastructure de ces éléments. C’est seulement au moment où les élèves seront assez habiles à créer une structure autour d’éléments définis ou à trouver les éléments qui doivent figurer dans une structure donnée qu’on peut conjuguer les deux habiletés et leur demander d’élaborer une carte conceptuelle du tout au tout… Et là, l’évaluation ne sera pas une partie de plaisir : il y aura autant de cartes différentes qu’il y a d’élèves et avant de déclarer que tel élève n’a rien compris parce qu’on ne saisit pas sa logique d’organisation, on devrait peut-être lui demander de nous exliquer…

Bref, les possibilités des cartes conceptuelles sont multiples, mais comme dans toute chose, il faut savoir faire preuve de jugement dans leur usage… Et lorsqu’on montre aux élèves à en faire, il faut être au moins aussi patient dans la démarche, qu’ouvert à ce qui peut émerger!





L’éducation au médias : l’éduc-à-quoi?

29 04 2009

Le quoi et le pourquoi d’un enseignement en émergence

L’Éducation aux médias, pour moi, c’est l’art de sensibiliser les jeunes à la nécessité de prendre un certain recul par rapport à l’information qui est présentée dans les différents médias. C’est leur apprendre à être critique, à réfléchir par eux-mêmes, à vérifier les sources et à contre-vérifier l’information. En réalité, l’éducation aux médias n’est pas une née avec Internet. Je cite mon expérience en exemple : déjà, quand j’étais enfant, mes parents m’amenaient à réfléchir à ce que l’on voyait à la télévision, à ne pas tout prendre pour acquis.

Qu’est-ce qui fait donc qu’aujourd’hui, cette thématique est sur les lèvres de tous les experts en enseignement, que l’on en parle dans toutes les tribunes? Internet n’a peut-être pas créé l’éducation aux médias, mais son avènement et, à plus forte raison encore, l’essort de la culture de participation des utilisateurs associée au Web 2.0 ont imposé la nécessité d’un grand changement dans cette forme d’éducation : elle devait être intégrée au cursus scolaire.

Auparavant, l’information était écrite et publiée par des professionnels : on pouvait se sentir plus légitimement en droit de faire confiance à l’information, parce que les auteurs professionnels étaient considérés fiables. N’empêche que même à cette époque où dominaient les « experts » de l’information, une dose de jugement critique ne nuisait à personne, car les professionnels ne sont pas infaillibles non plus…

Aujourd’hui, l’information est partout. Internet est dans nos vies… et nos vies sont dans internet. Nous sommes constamment bombardés de messages, solicités par des opinions qui se disent informatifs et par des critiques dont les fondements peuvent apparaître douteux. De plus, n’importe qui peut écrire ce qui lui chante et être publié à grande échelle, ce qui fait d’Internet un outil à double tranchant. On peut y trouver au moins autant de faussetées que de perles, et il faut savoir reconnaître à quelle de ces deux catégories appartient une information donnée.

Bref, dans un monde où l’information est omniprésente et où il n’y a plus de contrôle sur les sources de l’information, il devient excessivement important de savoir faire preuve de discernement.

L’éducation aux médias, c’est l’apprentissage de la pensée critique, c’est l’acquisition du jugement qui permet de prendre un certain recul face à ce qui nous est présenté. Tout projet où l’élève est amené à faire des recherches se prête à cette forme d’éducation, car qui dit recherche en 2009, dit Internet : on est certain de trouver des pistes sur lesquelles on pourra amener les élèves à réfléchir. On peut inviter les élèves à commenter les sources qu’ils utilisent de façon systématique : qui en est l’auteur? quelle est son expertise? l’information se trouve-t-elle sur la page d’un organisme reconnu? quel est le but du message? Voilà autant de questions qui peuvent être soulevées, et il y en a bien d’autres.

Outre les projets de recherche, comment sensibiliser les élèves à cette forme d’éducation? Après tout, malgré les multiples possibilités qui s’ouvrent lors de tels projets, les élèves peuvent voir la critique des sources comme une simple exigence additionnelle, une formalité : dans un tel cas, exit la sensibilisation, c’est raté! Je propose donc la méthode choc : le canular. Montrer un site qui est en fait un spectaculaire canular saura effectivement piquer leur attention. Lorsqu’ils réaliseront qu’ils ont été bernés, ce sera facile de leur dire de faire attention à ce qu’ils consultent…

Une ressource en termes de canulars : la désencyclopédie

Leur article sur le lait vaut la peine d’être lu…

Un canular dérouté : Mars, aussi grosse dans le ciel que la Lune?





La recherche d’information sur internet

29 04 2009

En fouinant sur la page « Je cherche de l’information sur internet« , j’ai trouvé une page qui énumère certains avantages et inconvénients de l’information numérisée utilisée à des fins de projet de recherche.

La page est assez simple, tant sur le plan visuel que sur celui du contenu. On pourrait facilement la faire lire à des élèves du secondaire pour les sensibiliser à l’importance de porter attention à l’information qu’on retient sur internet, particulièrement lorsque cette information doit nous permettre de nous avancer dans un projet de recherche.

J’ai fait une carte conceptuelle pour synthétiser l’information présentée sur la page en question et pour en faire une représentation graphique. Vous trouverez cette carte conceptuelle à l’adresse suivante : http://cmap.ulaval.ca/servlet/SBReadResourceServlet?rid=1240342067589_192282542_2524&partName=htmltext